Visitor experience sharing
01/01FromFranco: Si le bateau de Baudelaire avait navigué vers le couchant au lieu de courir vers les Indes et d'atterrir aux Mascareignes, le grand poète n'aurait pas dédié un poème à une Malabraise, mais à une Martiniquaise telle que Dianne. Elle a des yeux de braise, des rondeurs insulaires, une peau d'alizé chaud, une langue butineuse comme une oiselle sucrière. Elle n'est pas restée mollement alanguie, mais a su tirer, travailleuse, de mon pistil tout son nectar. Laissez-vous tenter d'accoster l'île aux plaisirs où cette beauté tropicale vous prodiguera douceurs épicées et chaleur caribéenne. Un seul bémol, la donzelle est très courtisée.